L’amélioration par Empire
Chapitre 1 //
L’opération s’est bien déroulée… Lorsque je me réveille, tu me tiens la main et seule une sourde douleur sur mon pubis me rappel ce qui vient de se
passer.
– C’est fait mon soumoureux… Tu verras, plus rien ne sera comme avant.
Moi, je te souris simplement, encore pris dans le brouillard de l’anesthésie… Je sens tes lèvres qui se posent sur les miennes, un baiser merveilleux qui a le goût de notre tout premier baiser… C’est sur l’image d’une nouvelle naissance que mes yeux se ferment et que je replonge dans un sommeil médicamenteux…
Le lendemain, c’est le chirurgien qui me réveille. Tu es assise juste à côté de moi.
– Comment vous sentez-vous ?
– Bien, merci.
Toute trace de narcoleptique semble s’être envolée et je me sens en pleine forme.
– Je vous laisse avec votre Maîtresse, elle va vous aider à prendre une douche. Surtout prenez votre temps pour vous relever.
Puis s’adressant à toi :
– Lorsqu’il sera douché et d’aplomb, vous pourrez faire quelques essais, vous verrez, c’est bluffant !
Mes pensées et mes souvenirs retrouvent peu à peu leur cours. Ta demande de te faire confiance, de ne pas te poser de question. Les différents RDV post opératoire sans que je ne sache rien de ce qui m’attend et puis le jour J ! L’arrivée à la clinique et enfin, cette fameuse opération…
– J’ai un peu mal au-dessus du pénis mon amour. C’est normal ?
Tu souries et doucement, tu tires le drap pour dévoiler ma queue.
– Regarde
Je me redresse doucement et je découvre, juste au-dessus de ma queue une plaque électronique implantée sous ma peau. 3 fois le chiffre « 0 » qui s’illumine en rouge sous mon épiderme.
– Qu’est-ce que c’est ?
– Je vais te l’expliquer mon soumoureux, mais viens, essaye de te lever doucement, je vais te laver, ça te fera du bien.
Tu me suis sous la douche et c’est dans un doux moment de baisers tendres et de caresses que tu me laves. Je ne sais rien de ce qui s’est passé, mais en cet instant, c’est tout ton amour et toute ta tendresse qui m’envahissent… Je t’aime si fort…
Quelques instants après ce moment de tendresse, j’ai enfin repris tous mes esprits et je t’avoue que j’ai hâte de savoir ce que tu m’as fait. Tu appuie sur le bouton d’appel et quelques minutes plus tard, le chirurgien revient. Alors que je suis assis nu sur le lit, c’est à toi qu’il s’adresse.
– Comme je vous l’ai dit, l’opération s’est très bien passée. Sa prostate est parfaitement raccordée et très réactive, le boîtier est calibré et fonctionne parfaitement.
Il te tend une petite télécommande :
– C’est extrêmement simple d’utilisation : Ici vous augmentez le nombre de jours, là vous le baissez. En cas d’urgence ou d’erreur, vous avez un bouton d’arrêt immédiat. Par expérience, je vous conseille de ne pas faire de sauts de plus de 30 jours dans les 6 mois qui viennent, le temps que son corps s’habitue : Vous pouvez monter à 30 jours, attendre 15 minutes le temps que la prostate se remplisse et remonter de 30 jours à nouveau. Si vous attendez bien les 15 minutes entre chaque, tout ira bien. Mais d’ici 6 mois, tout sera possible. Le bouton d’urgence, c’est au cas où sa réaction soit trop violente, mais physiquement, il ne craindra jamais rien.
Je vais vous laisser lui expliquer et faire des essais, si vous avez besoin de quoi que ce soit, appelez-moi.
Dès qu’il est sorti, tu me fais mettre à tes pieds.
– C’est un grand moment mon chat. A partir de maintenant, juste en avec cette télécommande, je peux décider de ton état de frustration : le chiffre que je détermine sur le cadran au-dessus de ta queue provoque une stimulation électrique complètement indolore de ta prostate qui va créer un état d’excitation chez toi égale au même nombre de jour sans éjaculer.
– Pardon mais je ne suis pas sûr de comprendre.
– Et bien si j’affiche 7, tu vas te sentir comme si tu n’avais pas joui depuis 7 jours. Si j’affiche 30, tu te sentiras comme si tu n’avais pas joui depuis 1 mois ! Et tu as entendu, Je peux simuler 60, 90, 120 et même plus encore de jours si j’attends juste 15 minutes entre chaque… On va découvrir des états qui te sont complètement inconnus ! Tu es content ?
Cette fois-ci, j’ai compris… Vraiment… Même si je ne mesure pas du tout l’ampleur du bouleversement et des possibilités qui s’ouvrent… Mais devant ton sourire et tes yeux qui pétillent, je ne peux que répondre :
– Oh oui ma Reine… oui, je suis content !
Deux ans plus tard…
Je me réveille après une longue nuit. J’ai appris à dormir malgré mes érections incessantes. Sur mon pubis, le chiffre 30 s’affiche depuis de longs mois en permanence et tout mon corps s’est familiarisé avec cet important niveau d’excitation. Mes tétons ont grossi et pointes en permanence, quant à mes couilles, elles ont aussi pris de la rondeur et sont bien plus lourdes. Par réflexe, je retire du lit la petite serviette qui reçoit mes pollutions nocturnes incontrôlées pour la mettre au sale et c’est la queue presque dressée que je descende te rejoindre avec la brûlante envie de te rendre hommage en baisant amoureusement tes pieds, nu, tremblant de désirs.
J’ai aussi appris à refouler toutes mes attentes. Cette excitation n’est qu’une offrande permanente que je te fais. Elle n’a de but que ton propre désir et ta propre excitation. Il est enfin fini le temps ou je me torturais d’attendre qu’il se passe quelque chose qui calme mon corps.
A peine ai-je rendu hommage à tes pieds, que tu me poses à genoux devant toi. Tu poses un verre entre mes cuisses, juste au-dessous de ma queue dresser.
– Tiens mon chat, offre moi ton jus ce matin, tu dois être drôlement plein.
Alors tu actionnes la télécommande et les chiffres s’emballent : 40, 50, 60… Mon corps vibre et se contracte tout entier ! Ma queue se dresse et grossit, les veines se dessinent si fort qu’elles sculptent ma verge ! 70, 80, 90… Je souffle, je sue, je tremble ! Un filet de sperme se forme enfin et je veille à atteindre le verre. 95, 100…
Tu poses la télécommande et tu t’installe dans le canapé en ne perdant rien du spectacle : Ma queue coule maintenant en continu et le verre peu à peu se remplit. Pas de jet puissant, ce n’est pas une éjaculation ! Je ne jouis pas mais je me répends sur commande.
Après quelques secondes, tu appuies sur stop et tout s’arrête immédiatement… Je manque perdre connaissance et je me retiens à ta cuisse pour ne pas m’effondrer.
– C’est bien mon chat, c’est presque le double de la dernière fois… Reprend ton souffle, bois et tu peux aller te doucher…
Je porte le verre à mes lèvres et je bois sans hésitation, les yeux plein de reconnaissance…. Alors que je me dirige vers la salle de bain, je vois les chiffres qui apparaissent à nouveau : 45….
Un palier est franchi…
3 ans plus tard…
120… Depuis 20 jours le chiffre m’obsède… Pas une seconde sans que je brûle de faire jouir ma queue ! Il n’y a que la nuit ou tu me laisses en pause à 30… Mais je n’en peu plus… Il faut que je jouisse ! Chaque seconde qui s’écoule est un combat et je ne tiendrais pas longtemps…
Je me précipite à tes pieds, les cuisses grandes ouvertes et pour la première fois je craque :
– Je t’en supplie ma Reine, laisse-moi jouir !!! Pitié !!! C’est trop dur ! Ça me rend fou !
Mes mains tremblent tellement que je ne les maîtrise plus !
– Pas encore mon chat, c’est beau de te voir me supplier mais j’ai besoin d’un peu plus encore…
Mes sens s’effondrent alors et je ne crois pas les mots que je prononce….
– Alors, coupe là !!! Tranche-moi la queue ! arrache là par pitié !!
Ton regard se fige dans le mien…
– C’est vrai ? Tu me laisserai le faire ? Là, maintenant ?
– Oui !!! Je hurle !! Oui sans hésiter !!!
Alors viens…
Quelques minutes plus tard, tu as préparé l’endroit. Une bâche posée au sol, tes scalpels dans leur coffret… Tu me poses à genoux devant toi la télécommande dans la main…
– Avant que je ne prenne ta queue, je t’offre une dernière jouissance. Tu vas résister le plus possible à l’envie de te branler et lorsque vraiment tu n’en pourras absolument plus, tu pourras jouir.
Je suis dans un état second, mes muscles tétanisés me font tous mal, et je vois les chiffres qui grimpent !! 130, 150, 180, 200, 250…. Mes tétons ont plus que doublé de volume, tu les effleures et chaque contact m’électrise tout entier ! Mes couilles sont énormes et presque bleues… 300… Je ne sais plus à quel chiffre j’ai pris ma queue en main…
– ATTEND !
Ta voix parvient à arrêter mon geste.
– Laisse-moi délimiter ce qui va m’appartenir pour toujours dans quelques secondes.
Alors tu prends ton scalpel et tu dessines doucement autour de ma queue prête à exploser un pointillé de sang. Lorsque tu passes sous mes couilles, la pression est telle que chaque entaille se met à gicler au rythme des pulsations… Une flaque se forme et grandit.
– Va y ! Maintenant !
Je prends ma queue en main et tu plante tes ongles dans mes tétons qui se mettent immédiatement à saigner aussi tant leur peau est tendue de désir ! Ils éjaculent du sang ! ! En quelques va-et-viens, j’explose d’un jet si puissant qu’il arrose mon visage en un flot continu ! J’ouvre grand la bouche pour me repaître de ce plaisir brûlant et scandaleux !
Alors que je pense avoir vécu l’orgasme le plus fou qui puisse exister, tu te déshabille et tu m’allonge sur le sol.
Sur mon pubis, le compteur affiche toujours 327 et ma queue est toujours aussi dure et tendue ! Mon désir est intact, la torture n’a pas cessé !
Les mains couvertes de sang plaquées sur tes cuisses, je te regarde t’empaler sur ma verge ensanglantée… Et alors que tu imprimes le rythme de ton plaisir, je me mets à éjaculer en flot continue d’un désir qui ne tari pas ! Un nouvel orgasme à chacun de tes mouvements… Le sang et le sperme se mêlent et nous inondent… Ton plaisir explose si violemment que tu t’effondres sur moi et que j’en perds connaissance…
A mon réveil, nous sommes couverts de fluide rougeâtre, Enlacés dans les bras l’un de l’autre et je me sens juste merveilleusement bien… Avec cette sensation de t’avoir offert le plus bel orgasme qu’il m’était possible d’offrir…
Sur mon ventre, les 3 zéros qui s’affichent annoncent un retour à la douceur pure… Avant la prochaine envolée…
A suivre…..
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